jeudi 8 avril 2010

Un nouveau site Internet pour le groupe Socialiste, Radical et Républicain


Désormais, retrouvez en temps réel toute l'actualité du Groupe SRR sur notre nouveau site Internet :

http://www.groupe-srr-toulouse.com

la suite...

mardi 9 mars 2010

Un nouveau Conseil Municipal des Enfants


Le conseil Municipal des Enfants de Toulouse a été créé pour permettre aux jeunes de s’intéresser et de participer à la vie de la cité. Des élèves issus de différentes écoles de notre ville y siègent pour un mandat de 2 ans. L’évaluation du dispositif par notre municipalité nous a permis de constater la faible implication des écoles sous le précédent mandat.
Pour y remédier et tenir compte du découpage de notre ville en 6 secteurs, le Conseil Municipal de Toulouse a décidé, le 18 décembre 2009, de créer 6 Conseils de Secteur d’enfants.
Le 5 mars dernier, les écoliers toulousains ont élu leurs représentants au Conseil Municipal des Enfants (CME).

Des fédérations d’éducation populaire participeront à la formation des animateurs du CME et plusieurs élus s’impliqueront dans ce projet que notre municipalité souhaite éducatif et citoyen.

Les objectifs de la nouvelle organisation du CME :
- Développer un projet éducatif citoyen au sein de l’école
- Favoriser une prise en compte territoriale des projets des enfants
- Rendre l’enfant acteur du projet en le sensibilisant à son rôle de relais et d’information entre l’école et le Conseil
- Développer l’information à toutes les écoles publiques sur les actions du CME afin de susciter l’intérêt des enfants d’être acteur du projet.

Les séances d’investiture et de clôture se dérouleront au Capitole, dans la salle du Conseil Municipal et sous la présidence du Maire ou de Gisèle Verniol ; l’Adjointe déléguée à ce Conseil Municipal des enfants.

la suite...

mardi 26 janvier 2010

Interview de Gisèle Verniol

Interview de Gisèle Verniol - Adjointe au Maire chargée de l'éducation


la suite...

Lancement de l’Observatoire Toulousain des Discriminations


Pierre Cohen a procédé ce 25 janvier 2010 au lancement de l’Observatoire Toulousain des Discriminations en présence du Procureur Général de la République, du Président du Tribunal de Grande Instance de Toulouse et de nombreux représentants des associations.

Déjà engagée dans une politique volontariste en matière de promotion de l’égalité, la ville de Toulouse entend amplifier la lutte contre toutes les formes de discriminations.

Outil de connaissance, l’observatoire est chargé de mesurer l’état des discriminations et d’évaluer les actions mises en place au niveau de la ville pour donner aux différents acteurs les moyens de lutter efficacement contre les discriminations.

Structure ouverte, l’observatoire va s’appuyer sur l’expertise, l’expérience, les connaissances et les compétences des partenaires sociaux, des associations et des personnes possédant une expérience en matière de lutte contre les discriminations.

Ces différents partenaires seront repartis en 4 collèges :
- un collège scientifique et éthique
- un collège institutionnel
- un collège associatif
- un collège de partenaires sociaux et économiques et de personnalités qualifiées.

Concernant les domaines d’observation, la ville propose dans une première phase de s’appuyer dur les domaines suivants : l’emploi, le logement, l’éducation, l’accès aux biens et services privés, la réglementation et le fonctionnement des services publics.

Un comité de pilotage réunissant le Maire, les élus en charge des politiques de lutte contre les discriminations ainsi qu’un représentant de chaque collège, proposera à la ville de Toulouse les plannings de réunion des différents collèges et des groupes de travail.

Discours du Maire

Lancement de l’observatoire des discriminations

Lundi 25 janvier 2010 – 20h 00
Salle du Conseil Municipal


Mesdames et Messieurs les élus,
Mesdames et Messieurs,
Chers amis,

En novembre, nous recevions pour la première fois à Toulouse, avec Jean-Paul Makengo, adjoint au maire chargé de la diversité et de l’égalité, la conférence générale des villes européennes contre le racisme.

C’était une première.

Toulouse affirmait alors, avec les grandes villes d’Europe, sa volonté de lutter contre le racisme et les discriminations.
Nous estimons en effet que les villes, par leur proximité avec les habitants, leur connaissance du terrain, sont un échelon important pour mener ce combat.

C’est pourquoi j’ai souhaité, dès que j’ai été élu maire de Toulouse, intégrer cette coalition européenne des villes contre le racisme.

C’est pourquoi j’ai créé, il y a à peine un an, le conseil toulousain des résidents étrangers, afin que chacun puisse faire entendre sa voix, même s’il ne dispose pas du droit de vote.

C’est pourquoi je vous ai invité aujourd’hui, afin de lancer, avec ceux d’entre vous qui le souhaitent, l’observatoire des discriminations.

Une première, là encore.

Cet observatoire sera, à ma connaissance, l’un des premiers en France à travailler sur l’ensemble des discriminations, et pas seulement sur celles liées aux origines ou à l’égalité hommes/femmes.
Nous voulons, à Toulouse, traiter l’ensemble des 18 critères de discrimination reconnus par la Halde !

L’objectif est ambitieux.
On ne peut mener une action efficace contre les discriminations qu’avec une volonté politique forte. Cette volonté, soyez assuré que nous l’avons.

Mais pour être efficaces, nous avons besoin d’outils de mesure. Nous devons par exemple savoir quelle est la place des homosexuels dans la cité, quelles sont les conditions d’existence et de travail des étrangers, quelles sont les actions engagées pour l’éducation à la citoyenneté et à l’égalité, comment se traduit la lutte contre les violences faites aux femmes, comment les personnes en situation de handicap vivent dans la ville, en quoi l’adresse postale peut influer sur la recherche d’emploi…

Vous détenez, chacun dans votre domaine, une partie des réponses à ces questions.

C’est pourquoi nous voulons tous vous réunir, associations, partenaires économiques et sociaux, universités, centres de ressources spécialisés et institutions concernées par la lutte contre les discriminations, afin de mutualiser vos connaissances, confronter vos points de vue, échanger vos expertises.

L’enjeu central de l’observatoire est de mesurer, de manière concrète et objective, l’état de toutes les discriminations à Toulouse.

Mais nous souhaitons qu’il aille au-delà de la simple « photographie » des discriminations dans la ville. J’entends qu’il joue également un rôle d’alerte, qu’il élabore des diagnostics, qu’il nous aide à mesurer et à évaluer l’impact et l’efficacité des politiques que nous menons, qu’il propose des actions de prévention et de lutte.

Il ne s’agit pas pour les membres de l’observatoire de décider en lieu et place des élus. Nous tirons notre légitimité du suffrage universel et il nous revient d’arbitrer, choisir, décider et voter. Ce que j’attends de vous, c’est de dialoguer, c’est de mettre en lumière la situation des publics discriminés, c’est de donner votre avis, c’est d’être une force de proposition, c’est d’être constructifs.

Comme vous pouvez le constater Mesdames et Messieurs, nous attendons beaucoup de vous.
Mais l’enjeu est de taille.

Nous voulons, avec vous, créer de nouveaux moyens de vivre ensemble dans le respect des différences, favoriser le dialogue des cultures, le brassage des populations et la compréhension mutuelle.

Je vous souhaite de bons – et fructueux – travaux et je cède la parole à Jean-Paul Makengo, qui va vous présenter les différents collèges que nous souhaitons mettre en place et la manière dont nous entendons fonctionner.

la suite...

mardi 12 janvier 2010

Communiqué de soutien au mouvement de grève des PARM



Depuis le 28 décembre 2009 les Permanenciers Auxiliaire de Régulation Médicale ( P.A.R.M ) sont en grève. Ils occupent désormais l’espace public, Place du Capitole, afin de faire connaître au plus grand nombre leur mécontentement et leurs revendications. Ces personnels des centres 15 réceptionnent les appels d’urgence, envoient les moyens de secours adaptés et guident les gestes de premier secours. Ils sauvent donc des vies en endossant d’importantes responsabilités, pour un statut au rabais et un salaire qui ne dépasse pas le S.M.I.C en début de carrière.

Les P.A.R.M revendiquent aujourd’hui la reconnaissance de leur métier et de leur savoir-faire par une revalorisation de leur salaire et une intégration de l’ensemble des personnels à la catégorie B administrative.

Leurs revendications sont donc légitimes, tant ils jouent un rôle vital dans la chaîne de secours.

C’est pourquoi François Briançon, adjoint au Maire est allé à leur rencontre ce lundi 11 janvier pour dialoguer avec eux et leur apporter son soutien ainsi que celui des élus du Groupe Socialiste, Radical et Républicain de la Mairie de Toulouse.

Il a rappelé notre attachement à un service public de santé de qualité. « Celui-ci ne doit pas systématiquement être la victime de la mauvaise gestion de la sécurité sociale, ni celle d’une volonté d’économies réalisées de manière arbitraire sans ce soucier des besoins des patients. »

Au delà des P.A.R.M, ce sont l’ensemble des personnels hospitaliers qui sont abandonnés et sont victimes d’une politique qui n’attache semble t’il aucune importance à la santé des français.

François Briançon, auquel s’associent les élus du Groupe, demande donc à Roselyne Bachelot de reprendre rapidement le dialogue et d’entendre les revendications de ces personnels ainsi que celles de l’ensemble des personnels, en souffrance, de l’hôpital public.
la suite...